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Nés un 21 novembre

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Jacques Laffitepilote automobile français, né le 21 novembre 1943 à Paris. Il a notamment disputé 176 Grands Prix de Formule 1 et remporté six victoires entre 1974 et 1986. De 1997 à 2012, il commente en qualité de consultant les Grands Prix de F1 pour la chaîne de télévision française TF1. Il a deux filles : Camille et Margot, journaliste sportive (Formula One) sur Canal+. Jacques Laffite est le beau-frère de Jean-Pierre Jabouille.
En 1958, il rencontre Jean-Pierre Jabouille qui lui propose de devenir son mécanicien, en 1966, lors des épreuves de la Coupe Renault R8 Gordini. Venu tardivement au sport automobile, Jacques Laffite s'est rapidement bâti une solide réputation dans les formules de promotion en devenant Champion de France de Formule Renault en 1972 (participation la même année aux 24 heures du Mans avec Pierre Maublanc de 15 ans son aîné sur Ligier JS2), et de Formule 3 en 1973 (cette année-là, il remporte également le prestigieux Grand Prix de Monaco F3). Ces résultats lui permettent d'accéder à la Formule 1 en 1974, au sein de la modeste écurie Williams, alors en grande difficulté financière. En obtenant au Grand Prix d'Allemagne 1975 sur le très sélectif tracé du Nürburgring une deuxième place, Laffite contribue grandement à la survie de l'équipe. Parallèlement à ses débuts en Formule 1, Jacques Laffite devient, en 1975, champion d'Europe et de France de Formule 2, et conquiert, pour le constructeur Alfa Romeo, le titre mondial d'endurance du Championnat du monde des voitures de sport 1975 sur la 33TT12 WSC (victoire à quatre reprises avec l'Italien Arturo Merzario, aux 800 kilomètres de Dijon, 1 000 kilomètres de Monza (Trofeo Filippo Caracciolo), 1 000 km de la Coppa Florio et 1 000 kilomètres du Nürburgring). Grand espoir de la Formule 1 française malgré ses 33 ans, Laffite est choisi, début 1976, à l'issue d'un test comparatif face à Jean-Pierre Beltoise pour faire débuter en compétition la première Ligier. Après une saison 1976 pleine de promesses, Laffite et Ligier semblent plus en difficulté en 1977. Dans ce contexte, Laffite remporte, à l'occasion du Grand Prix de Suède, son premier succès. Mal qualifié, Laffite revient à la deuxième place qui se transforme en victoire en vue de l'arrivée après l'abandon de Mario Andretti. Une victoire à ce point surprenante que Laffite sera privé de Marseillaise sur le podium, les organisateurs n'ayant pas imaginé la victoire d'un pilote français. Ce succès de Laffite sur la Ligier-Matra V12 constitue la première victoire d'un ensemble châssis-moteur français de l'histoire de la Formule 1. La victoire de Laffite restera pourtant une performance isolée au milieu d'une saison globalement décevante.
 
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Daniel Guichard, auteur-compositeur-interprète et producteur français, né à Paris le 21 novembre 1948. Il est connu pour ses chansons La Tendresse, mais surtout, Mon Vieux, son plus grand succès.
Daniel Guichard est né à Paris le 21 novembre 1948, d’un père breton Henri Guichard (1918-1964) soudeur en usine et d’une mère à la triple origine russe, polonaise et ukrainienne Elvira Bakon (1923-2010). Grandissant dans le quartier des Halles, Daniel perd son père à l’âge de quinze ans. Pas vraiment fasciné par les études, il quitte le lycée en première et part travailler aux Halles de Paris, où il décharge des fromages. Désireux d'être chanteur avant tout, il passe des auditions dans plusieurs maisons de disques pour finir avec un contrat chez Barclay. Avoir un contrat ne lui permet pas de vivre, alors il commence par travailler au stock de chez Barclay, puis il se produit le soir, après le travail, dans des cabarets de Montmartre ou de Saint-Germain-des-Prés accompagné d’un accordéoniste en interprétant, ses premières chansons ainsi que des chansons d’Aristide Bruant sur lesquels son accent « parigot » fait merveille. Mais les premières années de carrière de Daniel Guichard sont assez discrètes : il enregistre des disques à partir de 1967 (C’est parc’que j’suis né à Panam’, et des reprises d'Aristide Bruant), mais doit se contenter de chanter dans des petites salles ou des cabarets. Daniel Guichard est surtout révélé au début des années 1970 grâce au succès de La Tendresse.
En 1972, il monte pour la première fois sur la scène de l'Olympia. C'est cette année-là qu'il décroche ses premiers gros succès avec les chansons La Tendresse et Faut pas pleurer comme ça, qui lui permettent de se positionner sur le créneau « viril-mais-charmeur ». La Tendresse, chanson dont la musique a été écrite par Patricia Carli, et qui était initialement prévue pour Mireille Mathieu, mais refusée par Johnny Stark, l’impresario de cette dernière. Daniel Guichard modifiera le texte et la chanson connaîtra un destin d’exception, s’imposant comme l’un des standards du chanteur. La chanson deviendra l'un des classiques de la chanson française des années 1970. Il connaît par la suite une série de succès avec Faut pas pleurer comme ça (sur une musique de Christophe), Chanson pour Anna, musique composée par Pascal Danel, et l'incontournable Mon vieux (1974), dédiée à son père défunt, dont la musique a été composée par Jean Ferrat et le premier texte écrit en 1962 par Michelle Senlis. Il en modifie quelque peu le texte pour le rendre plus personnel, et véritablement autobiographique conçu comme un hommage à son père. En 1974, Daniel Guichard sort un disque reprenant les chansons d’Édith Piaf, revendiquant au passage son identité de « Parigot ». En 1975 et 1976, il se produit à nouveau à l’Olympia.
 
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14/11/2020
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