Nés un 07 novembre
Albert Camus, écrivain, philosophe, romancier, dramaturge, essayiste et nouvelliste français, né le 7 novembre 1913 à Mondovi (aujourd’hui Dréan), près de Bône (aujourd’hui Annaba), en Algérie, mort le 4 janvier 1960 à Villeblevin dans un accident de voiture, dans l'Yonne en France. Il était aussi journaliste militant engagé dans la Résistance française et proche des courants libertaires, dans les combats moraux de l'après-guerre.
Son œuvre comprend des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles, des films, des poèmes et des essais dans lesquels il développe un humanisme fondé sur la prise de conscience de l'absurde de la condition humaine mais aussi sur la révolte comme réponse à l'absurde, révolte qui conduit à l'action et donne un sens au monde et à l'existence. Il reçut le prix Nobel de littérature en 1957.
Dans le journal Combat, il prend position aussi bien sur la question de l'indépendance de l'Algérie que sur ses rapports avec le Parti communiste algérien, qu'il quitte après un court passage de deux ans. Il proteste successivement contre les inégalités qui frappent les musulmans d'Afrique du Nord, puis contre la caricature du pied-noir exploiteur, ou prenant la défense des Espagnols exilés antifascistes, des victimes du stalinisme et des objecteurs de conscience. En marge de certains courants philosophiques, Camus est d'abord témoin de son temps et ne cesse de lutter contre les idéologies et les abstractions qui détournent de l'humain. Il est ainsi amené à s'opposer à l'existentialisme et au marxisme, sa critique du totalitarisme soviétique lui vaut les anathèmes de communistes et sa rupture avec Jean-Paul Sartre.
Lucien Auguste Camus, père d'Albert, est né le 28 novembre 1885 à Ouled Fayet dans le département d'Alger, en Algérie. Il descend des premiers arrivants français dans cette colonie annexée à la France en 1834, et départementalisée en 1848. Un arrière-grand-père, Claude Camus, né en 1809, venait du Bordelais, un autre arrière-grand-père, Mathieu Just Cormery, d'Ardèche et sa femme de Veymerange en Lorraine, mais la famille se croit d'origine alsacienne. Lucien Camus travaille comme caviste dans un domaine viticole dans le hameau de Saint-Paul (aujourd'hui Chebaïta Mokhtar), nommé « le Chapeau du gendarme ». Celui-ci se trouve à 8 km de Mondovi, en langue arabe Dréan, à quelques kilomètres de Bône (Annaba) dans le département de Constantine. Les caves appartiennent à un négociant de vin d'Alger.
Lucien épouse le 13 novembre 1909 à Alger (acte de mariage no 932) Catherine Hélène Sintès, née à Birkhadem le 5 novembre 1882, dont la famille est originaire de Minorque en Espagne. En 1910, naît à Alger leur fils aîné Lucien Jean Étienne et, en novembre 1913, leur second fils, Albert. Lucien Auguste Camus est mobilisé comme 2e classe dans le 1er régiment de zouaves en septembre 1914. Atteint à la tête par un éclat d'obus qui l'a rendu aveugle, il est évacué sur l'école du Sacré-Cœur, de Saint-Brieuc, transformée en hôpital auxiliaire, et il y meurt, moins d'une semaine après, le 11 octobre 1914, à 28 ans. Orphelins de père pour fait de guerre, les deux frères sont faits pupilles de la Nation.
De son père, Camus ne connaîtra que quelques photographies et une anecdote significative : son dégoût devant le spectacle d'une exécution capitale.
« Je me suis souvenu dans ces moments d'une histoire que maman me racontait à propos de mon père. Je ne l'avais pas connu. Tout ce que je connaissais de précis sur cet homme, c'était peut-être ce que m'en disait alors maman : il était allé voir exécuter un assassin. Il était malade à l'idée d'y aller. Il l'avait fait cependant et au retour avait vomi une partie de la matinée. »
Sa mère, en partie sourde, ne sait ni lire ni écrire : elle ne comprend un interlocuteur qu'en lisant sur ses lèvres. Avant même le départ de son mari à l'armée, elle s'était installée avec ses enfants chez sa mère et ses deux frères (Étienne — sourd-muet, qui travaille comme tonnelier — et Joseph), rue de Lyon à Belcourt, un quartier populaire d'Alger. Elle y connaît une brève liaison à laquelle s'oppose son frère Étienne.
Albert Camus est influencé par son oncle, Gustave Acault, chez qui il effectue de longs séjours. Anarchiste, Acault est aussi voltairien. De plus, il fréquente les loges des francs-maçons. Boucher de métier, c'est un homme cultivé. Il aide son neveu à subvenir à ses besoins et lui fournit une bibliothèque riche et éclectique.
Albert Camus fait ses études à Alger. À l'école communale, il est remarqué alors qu'il n'a que 10 ans, en 1923, par son instituteur, Louis Germain, qui lui donne des leçons gratuites et l'inscrit en 1924 sur la liste des candidats aux bourses, malgré la défiance de sa grand-mère qui souhaitait qu'il gagnât sa vie au plus tôt. Ancien combattant de la Première Guerre mondiale, où est mort le père du futur écrivain, Louis Germain lit à ses élèves Les Croix de bois de Roland Dorgelès, dont les extraits émeuvent beaucoup le petit Albert, qui y découvre l'horreur de la guerre. Camus gardera une grande reconnaissance à Louis Germain, et lui dédiera son discours de prix Nobel. Reçu au lycée Bugeaud (désormais lycée Émir Abdelkader), Albert Camus y est demi-pensionnaire. « J'avais honte de ma pauvreté et de ma famille. Auparavant, tout le monde était comme moi et la pauvreté me paraissait l'air même de ce monde. Au lycée, je connus la comparaison », se souviendra-t-il.
Il commence à cette époque à pratiquer le football et se fait une réputation de gardien de but. Après avoir été reçu à la première partie de son baccalauréat, il entre en classe de philosophie à l'automne 1930. Mais en décembre, à la suite d'inquiétants crachements de sang, les médecins diagnostiquent une tuberculose, et il doit faire un bref séjour à l'hôpital Mustapha. Il évoquera cette expérience dans son premier essai d'écriture, l’hôpital du quartier pauvre qui remonte vraisemblablement à 1933. En 1932 ou 1933, selon Max-Pol Fouchet qui est dans ces années son ami avec Louis Bénisti, Jean de Maisonseul, Claude de Fréminville et Louis Miquel, il écrit également un essai, Beriha ou le rêveur et devient secrétaire de la section algérienne du Mouvement Amsterdam-Pleyel. C'est la fin de sa passion pour le football, et il ne peut plus qu'étudier à temps partiel. Son oncle et sa tante Acault, qui tiennent une boucherie dans la rue Michelet (actuellement rue Didouche-Mourad), l'hébergent ensuite, rue du Languedoc, où il peut disposer d'une chambre. Camus est alors encouragé dans sa vocation d'écrivain par son professeur de philosophie, Jean Grenier — qui lui fera découvrir Nietzsche. Il restera toujours fidèle au milieu ouvrier et pauvre qui a été longtemps le sien, et son œuvre accorde une réelle place aux travailleurs et à leurs tourments. Il obtiendra son diplôme d’études supérieures en Lettres, section philosophie, en 1936, en présentant un mémoire portant sur les pensées de Plotin et Augustin d'Hippone.
Graeme Allwright, chanteur auteur-compositeur-interprète franco-néo-zélandais, né le 7 novembre 1926 à Lyall Bay (Nouvelle-Zélande), mort le 16 février 2020 à Couilly-Pont-aux-Dames (Seine-et-Marne).
D'origine néo-zélandaise, Graeme Allwright a composé des chansons comme Il faut que je m'en aille ou encore comportant un message d'amour universel telles que Le jour de clarté. Il a adapté, traduit en français ou repris des chansons de Leonard Cohen (Suzanne, L'Étranger, Demain sera bien), de Bob Dylan (Qui a tué Davy Moore ?, Blowin' in the Wind), et des chansons traditionnelles américaines, notamment de Woody Guthrie, Pete Seeger ou Tom Paxton (Emmène-moi, Jusqu'à la ceinture, Sacrée bouteille, Comme un vrai gamin, J'm'envolerai). Graeme Allwright est également l'auteur de la traduction en français de la chanson de Noël Petit garçon (Old Toy Trains en version anglaise), et est l'auteur de ballades (Ballade de la désescalade, La Berceuse du clochard, La Chanson de l'adieu).
Graeme Allwright, passe toute son enfance avec sa famille dans sa ville natale. Adolescent, il est passionné de théâtre. Ayant obtenu une bourse pour intégrer la compagnie du théâtre "Old Vic" de Londres, il décide de quitter sa famille pour s'installer à Londres et y apprendre le théâtre. Il fait la traversée en s’engageant comme mousse sur un bateau, car il n'a pas d'argent pour se payer le voyage. À Londres, il fait la rencontre de la comédienne Catherine Dasté, issue d'une famille du théâtre, puisqu'elle est la petite-fille de Jacques Copeau (fondateur du théâtre du Vieux-Colombier) et la fille de Jean Dasté (directeur de la Comédie de Saint-Étienne) et de Marie-Hélène Dasté.
En 1948, il suit Catherine Dasté, s'installe en France et l'épouse en 1951 à Pernand-Vergelesses (Côte-d'Or), le village de Jacques Copeau. Ils auront trois fils, Nicolas (né en 1952), Christophe (né en 1955) et Jacques (né en 1958). Graeme Allwright exerce alors de très nombreux métiers, de la scène à la régie. En 1952, aux cotés du serviteur anonyme qu'est Jean-Louis Trintignant, Graeme Allwright interprète le rôle de Seyton dans la tragédie de Macbeth. Il devient ensuite apiculteur, animateur pour enfants à l’hôpital, moniteur en hôpital psychiatrique, professeur d'anglais (il aura notamment comme élève Philippe Lavil) et de théâtre à l'école secondaire de la Roseraie à Dieulefit (Drôme).
Encouragé par des amis stéphanois amateurs de blues, il monte à Paris au début des années 1960 et chante dans des cabarets (notamment à La Contrescarpe où il chante "sept soirs sur sept pour des clopinettes"). Les conditions sont dures. Il rode souvent ses chansons chez des amis peintres ou sculpteurs à La Ruche à Montparnasse. Il est alors accompagné par le guitariste stéphanois Genny Detto. Au Centre américain du boulevard Raspail, il retrouve bientôt deux musiciens de folk traditionnel. Son talent séduit Colette Magny, qui le présente à Mouloudji. Ce dernier le pousse à enregistrer son premier disque, Le Trimardeur, produit par Marcel Mouloudji en 1965 alors que Graeme est âgé de 39 ans. S'ensuit un premier contrat avec Philips, et ses deux albums de 1966 et de 1968, aux tonalités protest-song, le projettent au premier plan chez les jeunes.
Franck Dubosc, humoriste, acteur et réalisateur français, né le 7 novembre 1963 au Petit-Quevilly (Seine-Maritime). Il se fait connaître par son personnage de mythomane, de dragueur et de frimeur, à la télévision comme sur scène. Il est l'auteur et la vedette de cinq one-man-show le plus souvent salués par la critique. C'est en 2006 qu'il parvient à percer au cinéma dans le premier rôle de la comédie populaire Camping, concrétisant ses rêves de cinéma. Il confirme ensuite avec d'autres comédies de Fabien Onteniente : Disco (2008), Camping 2 (2010) et Camping 3 (2016).
Il devient également un fréquent collaborateur du réalisateur Éric Lavaine avec Incognito (2009), Bienvenue à bord (2011) et Barbecue (2014). Il tient le premier rôle de trois comédies d'Alexandre Charlot et Franck Magnier : les deux adaptations de la bande-dessinée Boule et Bill (en 2013 et 2017) et la satire Les Têtes de l'emploi (2016). Il fait également partie de grosses productions françaises comme Astérix aux Jeux olympiques (2008), Les Seigneurs (2012) et Les Visiteurs : La Révolution (2016). En 2018, il passe pour la première fois derrière la caméra pour la réalisation de Tout le monde debout, film qui obtient un certain succès critique et commercial.
Fils d'un déclarant en douane, Lucien Dubosc (mort en 2002) et de Janine Plantrou (née en 1934), fonctionnaire dans une mairie, Franck Dubosc grandit en Normandie, au Grand-Quevilly, où il fait ses études au collège Claude-Bernard, puis au lycée Val-de-Seine. Il a une sœur Corinne. Adolescent solitaire, timide et rêveur, il fait du judo pour se donner de l'assurance et s'invente une vie, ce qui préfigure la naissance de son personnage d'aventurier mythomane au public lors de ses débuts sur scène. Après son baccalauréat, il entreprend des études d'anglais qu'il quitte au bout de trois mois pour entrer au conservatoire de Rouen, où il fait la connaissance de Valérie Lemercier, Virginie Lemoine, Hugues Protat et Karin Viard.
DJ, compositeur, producteur français, né le 7 novembre 1967 à Paris. Il débute adolescent avant de se professionnaliser juste avant la majorité. Il se fait connaître au début de sa carrière comme une figure des nuits parisiennes en faisant ses premières armes dans divers lieux parisiens vers la fin des années 1980. Par la suite, il crée ses propres soirées à Ibiza. Dès 2007, il acquiert une reconnaissance internationale avec ses albums Pop Life et One Love. Dès lors, plusieurs de ses titres comme When Love Takes Over, Sexy Bitch, ou Gettin' Over You se classent en tête des ventes à travers le monde3. Depuis, sa renommée ne cesse de croitre, démontrée par ses records de ventes, sa capacité à remplir les plus grands lieux lors de ses prestations ou par son nombre d'abonnés sur les réseaux sociaux. Entré dans le classement en 2005, il se voit d'ailleurs élu six ans plus tard « DJ le plus populaire du monde » par le magazine DJ Mag.
De grands noms de la scène urbaine collaborent sur la majorité de ses derniers singles mais il participe aussi à l'introduction de nouveaux talents. En 2013, le titre When Love Takes Over de David Guetta en collaboration avec Kelly Rowland est élu meilleure collaboration pop-dance de tous les temps par le magazine Billboard. À l'été 2018, après la sortie de son septième album, David Guetta totalise plus de 13 millions d'albums et 81 millions de singles vendus. Symbole de la French touch, mondialement connu, il est le compositeur de l'hymne de l'Euro 2016 se déroulant en France.
Depuis plusieurs années, il possède également la 1ère chaîne YouTube francophone, avec plus de 20 millions d'abonnés (devant Cyprien et Squeezie).
Fils de Monique, une mère catholique (psychanalyste belge d'extrême gauche) et de Pierre Guetta (sociologue français, d'origine juive marocaine de Tétouan, spécialiste du monde du travail, devenu, par la suite, restaurateur), il débute la musique en tant que disc jockey dans des boîtes de nuit parisiennes. Il est parallèlement étudiant en droit à l'université de Paris X - Nanterre.
Il est le demi-frère par son père de Bernard Guetta. Bernard décrit David comme : « bosseur, exigeant, cadré et très réfléchi. » Il est aussi le demi-frère de Nathalie Guetta, actrice qui travaille en Italie jouant dans la série Un sacré détective. En mars 2018, elle participe à l'émission de téléréalité Ballando con le stelle. Il est aussi le demi-frère par sa mère de Dominique Vidal et Joëlle Vidal.
Encore mineur, David Guetta fréquente une radio libre et se lance dans des mixsets au Broad, une boîte gay des Halles dans le centre de Paris14 où Florent Pagny officie comme barman. À l'époque, dans les discothèques, le DJ mixait caché du public : « Quand j'ai commencé à Paris, le DJ était un anonyme, un moins que rien. Un jour, je suis allé à Londres, et j'ai vu que là-bas, où la musique house cartonnait déjà, toutes les lumières étaient braquées sur lui. J'ai investi toutes mes économies dans des disques d'électro et, à mon retour, j'ai passé un marché avec les patrons de boîtes qui m'employaient : je renonce à mon cachet mais, en contrepartie, je fais ma propre programmation et ma propre promo », mentionne-t-il. Il sympathise avec Kien, qui travaille également au Broad, et repère son talent lors des premières soirées acid house. Le Broad devenant trop petit face au succès de ces soirées, Kien lance, la saison suivante, les soirées hebdomadaires "Unity" au Rex Club avec David Guetta aux commandes de huit DJ confirmés dont Didier Sinclair. Au début des années 1990, Kien et David Guetta prennent la direction artistique du nouveau club "Folies Pigalle", un ancien cabaret de Pigalle. La presse commence à s'intéresser au buzz créé dans ce cabaret de Pigalle, haut-lieu de la prostitution, transformé en dancefloor. Le quartier Pigalle devient peu à peu clinquant et arty, consacré aux musiques parallèles et aux sonorités nouvelles. Ainsi, la "Boule Noire", "l'Élysée-Montmartre" ou même le mythique "Chat Noir" d'Aristide Bruant deviennent autant de salles de concerts et de clubs à la mode, drainant une foule de plus en plus nombreuse. Deux ans après, Philippe Fatien fait appel à eux pour la direction artistique à l'occasion de l'ouverture du Queen sur les Champs-Élysées.
Sa première apparition à la télévision se déroule sur FR3, le 8 janvier 1991, dans l'émission de divertissement humoristique "La Classe". Il mixe alors le titre Nation Rap avec Sidney. David Guetta et Kien lancent ensuite des soirées "Princess of the World" au "Central" l'ancien Queen et des soirées house. David Guetta invite des DJ reconnus à venir mixer : Little Louie Vega, David Morales, DJ Pierre ou Roger Sanchez. En 1992, il fait la rencontre de Robert Owens, une légende américaine de musique house lors de sa tournée en Europe ; tous les deux composent un petit titre à succès, Up and Away19, le premier de sa carrière. En 1994, son épouse Cathy Guetta, à l'époque serveuse aux "Bains Douches", et "Franck Maillot", serveur du Bal à Saint-Tropez, rejoignent l'équipe David et Kien pour les soirées du "Bataclan" en transformant tous les week-ends cette salle de concert en club branché à l'époque. David Guetta devient directeur du "Pink Paradise" avec sa femme, propriétaire du "Sweet Bar" et du restaurant "Tanjia" à Paris. Le Bataclan sert de tremplin à David et Cathy Guetta pour reprendre la direction artistique du "Palace". Lui et sa femme prennent ensuite la responsabilité d'établissements comme "Les Bains Douches". En 1996, il commence à organiser des soirées à Berlin et est alors une figure incontournable des nuits parisiennes.
En 2001, il fait écouter son morceau Just a Little More Love à Thomas Bangalter qui le donne au label Virgin. Guetta qui avait jusqu'à présent sorti deux singles confidentiels signe dans cette maison de production. L'année 2002 est un tournant dans sa carrière : il revend toutes les discothèques dont il est actionnaire pour se lancer comme producteur, les problèmes de toilettes et de convocations au commissariat pour des bagarres ne l'intéressant plus : « J'ai pété les plombs. Je n'avais pas choisi ce métier où l'on gère des problèmes de toilettes bouchées » ; « un jour, je me suis rendu compte que je ne m'amusais plus », reprend-il.
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