artaugraffe.blog4ever.com

Art au graffe. blog4ever.com

Nés un 23 novembre

1B.png
 
Jean-Pierre Foucaultanimateur de radio et de télévision français, né le 23 novembre 1947 à Marseille. À la radio, il débute sur "RMC" en 1966, puis a animé différentes émissions sur "RTL", "Europe 1" et "MFM". Il a animé de 2001 à 2006 le jeu "Quitte ou double" puis "La Bonne Touche", de 2006 à 2011 sur "RTL" en duo avec Cyril Hanouna, Christophe Dechavanne, Éric Laugérias puis avec Jade. Après avoir été remercié par "RTL", il revient sur "Europe 1" fin août 2014 en tant que simple chroniqueur de l'émission quotidienne Les "Pieds dans le plat" animée par Cyril Hanouna. 
Présent sur les écrans de télévision depuis le milieu des années 1970, il est notamment célèbre pour avoir présenté "L'Académie des neuf", "Sacrée Soirée" produite par Gérard Louvin, "Intervilles", "Miss France" et le jeu "Qui veut gagner des millions ?" sur TF1. Il est un des rares animateurs à être salarié en contrat à durée indéterminée de la première chaîne de télévision française. 
À la suite d'une demande faite par Jean-Claude Gaudin, maire de Marseille, il devient président bénévole du centre de formation de l'Olympique de Marseille. Il est par ailleurs à la tête de trois sociétés qui gèrent ses différentes activités et biens. Il est enfin membre du comité stratégique de France Pari, une société de paris en ligne. 
Jean-Pierre Foucault naît le 23 novembre 1947 à Marseille. Dans son autobiographie Le Sourire aux larmes, publiée en 2005, Jean-Pierre Foucault raconte une partie très intime de sa vie personnelle, à savoir que sa mère a survécu à la barbarie nazie et que son père, Marcel, a été assassiné par des inconnus à Alger le 22 février 1962. Il raconte à nouveau cette même histoire en 2012 dans sa seconde autobiographie, La Couleur des souvenirs. Sa mère, Paula, née Pesa Łeba Leska le 27 février 1916 à Mogielnica (Pologne), morte en octobre 2008, était juive polonaise. Les neveux de celle-ci ont été sauvés pendant la Seconde Guerre mondiale par son père, Marcel Foucault, lauréat à titre posthume de la médaille de « Juste parmi les nations » en octobre 2009. Jean-Pierre Foucault partage sa vie avec Évelyne Jarre, sans être marié. Il a une fille d'un précédent mariage, Virginie Foucault.
 
FrisePrénom.png
 
1B.png
 
Francis Cabrel, auteur-compositeur-interprète français, né le 23 novembre 1953 à Agen dans le Lot-et-Garonne. Reconnu pour ses ballades et chansons sentimentales, ses ventes de disques sont estimées à plus de 25 millions d'exemplaires à travers le monde. 
Francis Cabrel naquit dans une famille modeste originaire du Frioul en Italie, d'un père ouvrier dans une biscuiterie et d'une mère caissière dans une cafétéria. Il a une sœur, Martine, et un frère, Philippe. Il passa son enfance à Astaffort, dans le Lot-et-Garonne, où il vit actuellement avec sa femme et ses trois filles. À treize ans, il entend pour la première fois Like a Rolling Stone de Bob Dylan à la radio ; une découverte qui aura une influence majeure dans sa carrière. À Noël, son oncle Freddy lui offre une guitare ; il se met ainsi à composer ses premiers morceaux afin de lutter contre sa timidité. Il se met alors à reprendre les chansons de Neil Young, Leonard Cohen et évidemment Bob Dylan, apprenant l'anglais en traduisant les paroles. Il racontera plus tard qu'il pensait que sa guitare lui permettait de se rendre plus intéressant aux yeux des autres. À 17 ans, il commence à monter plusieurs groupes de folk rock et chante dans les orchestres de bals, mais ses groupes ne tiennent pas longtemps. Alors qu'il est en classe de première, il est renvoyé du lycée Bernard Palissy d'Agen en raison de ses trop fréquentes absences. Il travaille alors, à 19 ans, comme magasinier dans un magasin de chaussures tout en jouant dans des bals locaux avec un groupe « Ray Frank et les Jazzmen ». Le groupe se renomme par la suite « les Gaulois » à cause des moustaches de chacun des membres. En effet, à cette époque, Cabrel arbore un style hippie, cheveux longs et moustaches. En juin 1974, à Toulouse, il participe à un concours de chanson de "Sud Radio" durant lequel se succèdent 400 candidats devant un jury composé notamment de Daniel et Richard Seff. La chanson Petite Marie, dédiée à sa femme Mariette Darjo, lui permet de remporter le concours et le prix de 2 000 francs. De plus, les frères Seff lui ouvrent les portes de la firme CBS. Managé en début de carrière par le producteur Jacques Marouani, c'est ensuite, à partir de 1979, à Maurice Tejedor — producteur de spectacles dans le grand Sud-Ouest, avec qui il lie des liens amicaux au cours d'une mini-tournée — qu'il confie l'organisation de ses spectacles et tournées. 
En 1977, à l'occasion de la campagne de la « nouvelle chanson française » de la maison de disques, Francis Cabrel sort son premier simple, Ma ville, mais il éprouve vite le sentiment que CBS ne le laisse pas exprimer sa vraie personnalité (en témoigne la version particulière de Petite Marie du disque, qui tente de gommer l'accent méridional du chanteur, version reniée par Cabrel par la suite). Pourtant, il se produit à l'Olympia, en première partie de Dave, durant un mois et gagne le Prix du public au Festival de Spa en Belgique en 1978. Avec son deuxième album, Les Chemins de traverse et son titre phare Je l'aime à mourir, Cabrel obtient le succès. Toutefois, il continue à vivre dans le Lot-et-Garonne avec sa famille. Pour son sixième album Photos de voyages qui sort en 1985 il décide de changer tous ses musiciens qui formaient un groupe depuis le début : "J'avais envie d'un truc un peu plus nerveux" déclare t-il lors d'une émission télévisée, le bassiste George Auzier de Moussac témoigne qu'il a été remplacé par un pianiste "sans sentiment" mais qu'il l'a très bien compris. En juillet 1986, il assiste à la naissance d'Aurélie, sa première fille. Ses albums s'espacent, mais grâce à ses succès, il peut réaliser comme il le souhaite l'album Sarbacane imposant par exemple le réalisateur de clips Maxime Ruiz que la maison de disques avait renvoyé l'année précédente. L'album sort en 1989 après presque trois ans de silence, c'est un énorme succès, notamment grâce aux titres Sarbacane et C'est écritIl crée en 1988 les Rencontres d'Astaffort, festival musical et culturel qui réunit chaque année des milliers de passionnés de guitare (luthiers ou musiciens). Il produit aussi de jeunes talents sur son label "Cargo". À partir de 1990, année de naissance de sa deuxième fille, le chanteur se consacre encore plus à sa famille et à son village dont il est devenu conseiller municipal en 1989. En 1994 sort l'album Samedi soir sur la terreEn 1997, Claude Gassian sort un ouvrage consacré au chanteur, intitulé Hors-saison. Au printemps 1999, l'album du même nom remporte un certain succès. Fin 2000, sort Double tour, un triple album live, puis Les Beaux Dégâts en mai 2004.
Parallèlement, sa famille s'agrandit avec Thiu, adoptée au Vietnam en 2004. En 2006, il produit et collabore à l'illustration musicale d'une œuvre écrite par Louis Chedid et Pierre-Dominique Burgaud, Le Soldat rose, qui réunit plusieurs célébrités. Francis Cabrel lors d'un concert à Bruxelles en 2008.
Le 31 mars 2008, sort Des roses et des orties. Son avant-dernier disque, Vise le ciel, est le 12e album studio de Francis Cabrel, un album uniquement composé de reprises de chansons de Bob Dylan. 
Le 27 avril 2015, après sept ans d'absence sur scène, il sort son 13e album, In extremis 
En 2017 il reprend sa célèbre chanson La Corrida en duo avec le chanteur Algérien Idir dans l'album Ici et ailleurs de ce dernier où il chante quelques passages en Kabyle. 
Vie privée
Francis Cabrel est marié depuis 1974 avec Mariette Darjo, décoratrice d'intérieur née le 30 mai 1953. Ils se sont rencontrés en 1970, alors qu’ils n’avaient que 17 ans. 
Ils ont trois filles : Aurélie, née le 30 juillet 1986, Manon née en 1990 et Thiu, née au Vietnam et adoptée en 2004 à trois mois. Après un début de carrière de chanteuse en demi-teinte, Aurélie a ouvert le 11 avril 2018 un hôtel restaurant, "Le Square", à Astaffort (Lot-et-Garonne).
 
FrisePrénom.png
 
1B.png
 
Nicolás Maduro Morossyndicaliste et homme d'État vénézuélien, né le 23 novembre 1962 à Caracas, il est président de la République du Venezuela depuis 2013. 
Ancien chauffeur de bus, puis responsable syndical, il est membre du Mouvement Cinquième République (MVR). D'abord député (1999-2000), puis président de l'Assemblée nationale du Venezuela (2005-2006), il est ensuite ministre des Affaires étrangères (2006-2012) puis vice-président de la République (2012-2013). À la mort du président Hugo Chávez, il devient président de la République par intérim, puis remporte l'élection présidentielle anticipée avec 50,6 % des voix face à Henrique Capriles. En 2014 et 2017, au cours d'une profonde crise économique provoquant notamment des pénuries alimentaires, Nicolás Maduro est confronté à des manifestations meurtrières et à une opposition demandant sa démission. Les élections législatives de 2015 voient l'opposition emporter la majorité à l'Assemblée nationale, ce qui constitue le point de départ d'une crise institutionnelle. Il est réélu en 2018 à l'issue d'un scrutin contesté, suivi l’année suivante d'une grave crise présidentielle, lors de laquelle il est contesté par Juan Guaidó. 
Le père de Nicolás Maduro, d'origine juive séfarade, est chef syndicaliste. Cette origine a permis à Chávez, qui le fit ministre des Relations extérieures, de dissiper les tensions avec la communauté juive vénézuélienne. S'il y a pour Nicolás Maduro « une grande diversité de communautés religieuses dans le pays », lui-même fut élevé dans la religion catholique comme 73 % des vénézuéliens. Il a en outre rendu publique son appartenance au mouvement de Sathya Sai Baba, gourou indien qui professait l'unité de toutes les religions.
Nicolás Maduro se marie en 1988 avec Adriana Guerra Angulo, avec qui il a un fils, Nicolás Maduro Guerra. En juillet 2013, il se remarie avec Cilia Flores.
Nicolás Maduro est né à Caracas, issu de la classe moyenne d'un quartier populaire du sud de cette ville. Il milite dans la Ligue socialiste (marxiste-léniniste) du lycée au début des années 1970. Selon un de ses amis, il s'est fait expulser de son établissement scolaire en 1977 pour propagande communiste.
Dans les années 1980, M. Maduro devient garde du corps des candidats socialistes à la présidence José Vicente Rangel (1983) et David Nieves (1988), mais également de Pablo Milanés. À cette époque, il reçoit une formation à l'école des cadres du Parti communiste de Cuba destinée à former les futurs révolutionnaires d'Amérique latine. Il reçoit des cours de philosophie marxiste et d'économie politique, il apprend l'histoire de l’Amérique latine, des révolutions mexicaine et cubaine.
Après ses études, il est embauché comme conducteur de bus à Caracas, de 1991 à 1998, et devient membre du conseil administratif de la Metrobus de Caracas. C'est en tant que porte-parole des conducteurs qu'il commence à se faire un nom. Dirigeant syndicaliste à partir de 1990, il est l’un des fondateurs du nouveau syndicat du métro de Caracas (Sitrameca) et de la Force bolivarienne des travailleurs avant d’en devenir son coordinateur national. C'est aussi vers ce moment qu'il effectue en parallèle, à Cuba, des études de science politique. La BBC affirme que les Vénézuéliens apprécient l'histoire de son ascension ; du syndicalisme il arrivera en politique.
De 1994 à 1997 il est membre de la direction du MBR-200 que Chávez avait fondé en 1983, et qui était l'embryon du Mouvement Cinquième République (MVR) qui deviendra le Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV) à partir de 2007 avec d'autres partis de gauche. Il participe aux émeutes de Caracas en 1989. 
Il épouse Cilia Flores, procureur générale de la République, avocate de formation, c'est elle qui a organisé la défense de Chávez lorsqu'il a été arrêté à la suite de l'échec de son coup d’État de 1992. 
Nicolás Maduro participe à la fondation du MVR en 1997, avec Hugo Chavez. Il est également corédacteur de la nouvelle constitution bolivarienne et devient député du MVR, en 1999, puis président de l'Assemblée nationale, de 2005 à 2006. 
Il est nommé ministre des Affaires étrangères en août 2006 et vice-président de la République le 13 octobre 2012, à la suite de la réélection d'Hugo Chávez à la présidence. Pendant cette période d'absence du président c'est donc Maduro qui a occupé les fonctions administratives et économiques.
À la tête de la diplomatie vénézuélienne, il se fait remarquer en soutenant le régime libyen de Mouammar Kadhafi jusqu'au bout, continuant par ailleurs à appuyer le Syrien Bachar el-Assad, qui combat une rébellion dans son pays. S'adaptant au style incendiaire de Chávez, il traite par exemple le sous-secrétaire d'État américain John Negroponte de « gratte-papier au passé criminel ». Également pragmatique, il accepte en 2010 la main tendue du président colombien Juan Manuel Santos, contre qui il vitupérait pourtant quelques semaines plus tôt. Désigné « dauphin » du président Chavez, il est pour cela critiqué dans l'opposition, notamment par Henrique Capriles : « Nous ne sommes pas une monarchie ». Cette nomination aurait été poussée par Cuba, l'île communiste étant inquiète de la stabilité de son allié vénézuélien une fois que Chavez aurait disparu. Il est présenté comme faisant partie de l'aile modérée du PSUV. Hugo Chávez le décrit comme « un révolutionnaire à part entière, avec sa main ferme, avec sa vision, avec son cœur d’homme du peuple, avec son talent avec les gens, avec la reconnaissance internationale qu’il s’est acquise, c’est l’un des jeunes dirigeants ayant les meilleures capacités » ainsi que comme « un homme plein d’expérience malgré sa jeunesse ». 
En avril 2012, il traite l'opposant Henrique Capriles de « gros pédé », puis s'excuse auprès de la communauté homosexuelle. À la suite de l’aggravation de la santé de Hugo Chávez en décembre 2012, il accuse les « ennemis historiques » du Venezuela d'avoir inoculé le cancer de Chávez et assure qu'il le prouvera. Le 11 octobre 2012, peu après l'élection présidentielle vénézuélienne, il est nommé vice-président de la République par Hugo Chávez, ce qui fait de lui le dauphin du président sortant en cas d'aggravation de son état de santé ou de mort. À la mort d'Hugo Chávez, survenue le 5 mars 2013, il devient président du Venezuela par intérim et déploie l'armée pour « garantir la paix ». C'est dans ce contexte que Nicolás Maduro expulse deux fonctionnaires de l'ambassade des États-Unis accusés de nourrir une « déstabilisation » du pays. Le 7 mars, il annonce que le corps d'Hugo Chávez sera embaumé, « comme Lénine », projet finalement abandonné quelques jours plus tard. Le 8 mars 2013, il prête serment comme président de la République par intérim. L'opposition considère qu'il s'agit d'une violation de la Constitution, celle-ci prévoyant que le président de l'Assemblée nationale, Diosdado Cabello, devienne président par intérim en cas de décès du chef de l'État. L'opposition critique également son éventuelle candidature à la présidence, constitutionnellement incompatible avec la fonction de vice-président. Cependant, la Cour suprême validera cette prise de fonction.
 
https://static.blog4ever.com/2019/07/852973/Frise.png
Merci de mettre un petit "j'aime" en bas de page, si vous avez aimé bien sûr. Bien entendu les commentaires sont les bienvenus.


15/11/2020
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Ces blogs de Littérature & Poésie pourraient vous intéresser

Inscrivez-vous au site

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 7 autres membres