Max Favalelli, journaliste français et verbicruciste, né le 23 janvier 1905 à La Charité-sur-Loire (Nièvre), mort le 22 décembre 1989 à Sarlat-la-Canéda (Dordogne), il fut également animateur de jeux télévisés.
Max Favalelli est le fils d'un médecin d'origine corse ; sa mère est originaire de l'Allier. Ses parents se rencontrent lorsque, venu faire un remplacement en Auvergne, son père soigne une entorse contractée par sa mère.
Né à La Charité-sur-Loire, il y fréquente l'école communale pendant huit ans avant de passer son baccalauréat à Nevers. À l'âge de 16 ans, il arrive à Paris afin d'y poursuivre des études qui le mènent au lycée Janson-de-Sailly, à la faculté de droit et enfin à l'École des hautes études commerciales de Paris (HEC).
Adepte de tennis et de rugby, Max Favalelli décide de participer au concours pour jeunes écrivains organisé par le périodique L'Auto. Il remporte le premier prix et est engagé pour six mois à l'essai par Henri Desgranges. À l'issue de son service militaire à Colmar et à Besançon, et sous la pression de son père, il est engagé dans une entreprise de recherches minières. Pendant trois ans, ce travail lui permet de réaliser ses premiers voyages en Haute-Volta et en Côte d'Ivoire. C'est finalement au cours d'un voyage à Paris qu'il rencontre Jean Fayard. Après avoir été présenté à son père, l'éditeur Arthème Fayard, Max Favalelli entre aux Éditions Fayard. Il peut alors exaucer son rêve de toujours, devenir journaliste.
Durant les années 1930, Max Favalelli est rédacteur pour le journal "Je suis partout", où il publie également ses mots-croisés du 10 septembre 1937 au 26 août 1939. Il est mobilisé en septembre 1939. Il rencontre Tristan Bernard qui lui donne le goût des mots croisés et devient verbicruciste pour Candide, puis pour de nombreux autres journaux, dont France Dimanche. Il garde tous les doubles de ses grilles ; en 1984, il en possède plus de 70 000.
Après la Libération, il suit à neuf reprises pour un journal le Tour de France.
Il entre à la télévision en 1952 pour y présenter l'émission "Carte blanche". Il est connu comme l'un des animateurs de l'émission "Le Mot le plus long", de 1966 à septembre 1970, puis "Des chiffres et des lettres" de janvier 1972 à octobre 1984. À 80 ans en 1985, il est alors le doyen de la télévision. Surnommé « Monsieur dictionnaire », il est associé dans le grand public à une connaissance quasi encyclopédique du contenu du dictionnaire (même s'il ne s'appuyait pas que sur sa mémoire). Max Favalelli est également scénariste pour le cinéma, on lui doit le scénario du film L'Ennemi public nº 1 (1953) d'Henri Verneuil et tient son propre rôle dans le feuilleton Le Gruyère qui tue de Pierre Dac et Francis Blanche dans la série Signé Furax.
Domicilié à Paris, dans le 7e arrondissement, près du Champ-de-Mars, il décède à Sarlat-la-Canéda, dans le Périgord noir où son fils Michel (1943-1991) dirigeait une librairie. Il est inhumé à Saint-André-d'Allas (Dordogne).
La ville de Varennes-sur-Allier lui a rendu hommage en attribuant le nom de Max Favalelli à sa salle municipale. En guise d'épitaphe, Max Favalelli déclarait dans une interview « qu'il serait content s'il laissait simplement derrière lui quelques bonnes définitions de mots croisés ».
Jean Reinhardt, plus connu sous le nom de Django Reinhardt, guitariste de jazz français né le 23 janvier 1910 à Liberchies — aujourd'hui une section de la commune de Pont-à-Celles, dans la région de Charleroi en Belgique —, mort le 16 mai 1953 à Samois-sur-Seine. Son style de jeu et de composition a été suivi d'adeptes, donnant naissance à un style de jazz à part entière, le jazz manouche.
Issu d’une famille sinténote et communément appelée en France « manouche », il est encore aujourd’hui un des guitaristes les plus respectés et influents de l’histoire du jazz. Grièvement blessé dans l'incendie de sa roulotte, il garde toute sa vie les séquelles de ses brûlures à la main gauche qui l'obligent à trouver une nouvelle technique et à jouer dans un style si particulier que ses adeptes des générations suivantes poussent l'idolâtrie jusqu'à s'entraver les doigts pour reproduire son infirmité et sa technique. Plusieurs de ses descendants sont devenus guitaristes : Lousson Reinhardt, son fils aîné issu d'un premier mariage (1929-1992), Babik Reinhardt, son second fils (1944-2001) et David Reinhardt, son petit-fils (fils de Babik), ainsi que Levis Adel-Baumgartner descendant de Lousson.
Jean Reinhardt naît dans une roulotte stationnant à Liberchies, en Belgique, où il est déclaré, selon son acte de naissance, « fils de Jean-Baptiste Reinhart et de Laurence Reinhart » originaire d'Alsace. Son père, Jean-Baptiste Eugène Weiss, violoniste et pianiste ambulant de son état, ne signe pas de son vrai nom l'acte de naissance afin d'échapper à la conscription militaire française, Django portera donc le nom de sa mère. L’enfant fait partie d’une famille de Sinté nomades habitués à traverser l’Europe de part en part. Il est principalement élevé par sa mère Laurence dite « Négros » et passe donc sa jeunesse à voyager en France, en Italie ou en Algérie pour fuir la Première Guerre mondiale avant que sa famille ne se fixe finalement à Paris, d’abord sur les fortif’, la Zone mal famée jouxtant la porte de Choisy, puis à la porte d'Italie. Personne ne sait d'où lui vient son surnom Django qui signifie « je réveille ». Django apprend la musique avec le violon. La rencontre avec le banjo-guitare de son oncle à l’âge de douze ans est décisive. Fasciné par l’instrument, le jeune Django n’a dès lors de cesse de s’écorcher les doigts sur ses cordes oxydées. Il fait son apprentissage en observant avec attention les musiciens de passage au campement, et acquiert bientôt une dextérité hors du commun. Il se mettra, avec le même bonheur, au violon et finalement à la guitare. Il débute dans l'orchestre familial que son père musicien (jouant du piano et du cymbalum) dirige.
Vers l’âge de douze ou treize ans, il joue du banjo-guitare dans les cours d'immeuble, dans la rue puis dans les cabarets et bals de Paris, ainsi que dans les demeures des gens aisés, tout en continuant de jouer surtout pour son propre plaisir. Il est repéré par l'accordéoniste de bal Vetese Guerino qui le convainc de l'accompagner. La réputation du jeune virtuose se répand chez les amateurs de musique et, en 1928, l'accordéoniste Jean Vaissade permet à Django d’enregistrer son premier disque. L’adolescent ne sachant ni lire ni écrire, pas même son propre nom, les étiquettes portent la mention « Jiango Renard, banjoïste ».
À la fin des années 1940, il est considéré comme un peu dépassé par la nouvelle génération de musiciens français, nourris au bebop, fraîchement arrivé des États-Unis. Pour autant, intégrant pleinement le langage du bebop, le guitariste est en réalité en avance sur son époque. Il raconte : « un jour, je me suis fâché : j’ai commencé à jouer si vite qu’ils n’ont pas pu me suivre ! Je leur ai servi des morceaux nouveaux aux harmonies difficiles et là non plus ils n’ont pas pu me suivre ! Maintenant, ils me respectent ! » Sa composition Flèche d'or illustre l'apparition de nouveaux concepts. Sa structure, un AABA avec un pont doublé (AABBA) est très inhabituelle pour l'époque. La principale innovation réside dans le fait qu'il n'utilise qu'un seul accord sur la section A, un si mineur, et un seul autre accord pour la section B, un mi septième, à une époque où les boppers ont au contraire tendance à ajouter des accords. Cette innovation annonce le jazz modal, dont la naissance est généralement située en 1958, avec Milestones de Miles Davis. On peut trouver d'autres morceaux de Django annonçant le jazz modal : Appel indirect, enregistré le 14 juin 1938, avec une forme AABA sur lequel chaque A reste sur un do septième, la section B présentant un ré bémol septième, chacun des accords étant abordé de façon mixolydienne. Les quatre premières mesures du pont de Douce ambiance sont jouées en la dorien. D'autres compositions ne sont ni modales ni tonales : Diminushing (1947), Impromptu (1951), Nuit de Saint-Germain-des-Prés (1951).
Après la guerre, le Hot Club de France reprend enregistrements et tournées. En 1946, une tournée aux États-Unis donne enfin à Django l’occasion de jouer aux côtés de Duke Ellington. Les deux musiciens s’étaient rencontrés en 1939 lors d'une tournée de Duke en Europe et désiraient depuis lors jouer ensemble, mais cette association n’est pas celle dont Django avait rêvé. Ne parlant pas anglais, habitué à la liberté de sa vie nomade, Django peine à s’habituer à la discipline très stricte des Big Bands. Ces difficultés, alliées au fait qu’Ellington n’avait pas réellement intégré le guitariste à ses arrangements, le faisant toujours intervenir en fin de représentation, faisait de Django une sorte d’attraction et non le concertiste qu’il espérait être durant cette tournée. La déception sera rude de n'être pas reconnu comme le plus grand, surtout lors du concert avec Duke au Café Society de New York, le premier cabaret qui pratiquait l'intégration raciale aux États-Unis.
Cependant, son passage fait toujours sensation. Le groupe a tourné dans tous les États-Unis, ainsi qu'au Canada, et la présence de Django était exceptionnelle pour les amateurs : il était la seule vedette de jazz non américaine (avec Grappelli). En arrivant à New York, Django cherche à rencontrer Charlie Parker, Dizzy Gillespie, Thelonious Monk, sans résultat, ces derniers étant alors chacun en tournée.
Il gardera de cet épisode une certaine amertume, et il s’éloigne peu à peu de la guitare, se consacrant de plus en plus à ses autres passions, la peinture, la pêche et le billard. Cela ne l’empêche pas de recréer à plusieurs occasions sur disque le prestigieux Quintette avec Stéphane Grappelli. Les résultats sont fantastiques de maîtrise et de singularité.
Jeanne Moreau, actrice, chanteuse et réalisatrice française, née le 23 janvier 1928 à Paris, morte le 31 juillet 2017, dans la même ville. Elle a joué dans plus de cent trente films : Ascenseur pour l'échafaud, Les Amants, Moderato cantabile, Jules et Jim, Eva, Le Journal d'une femme de chambre, Viva Maria !, La mariée était en noir, La Vieille qui marchait dans la mer..., pour ne citer que quelques uns, sous la direction de grands réalisateurs comme Luis Buñuel, Theo Angelopoulos, Wim Wenders, Rainer Werner Fassbinder, Michelangelo Antonioni, Manoel de Oliveira, Joseph Losey, Orson Welles, Elia Kazan, Jacques Becker, François Truffaut, Louis Malle, Jacques Demy, Jean Renoir, Marguerite Duras, Agnès Varda... En 1992, elle obtient le César de la meilleure actrice pour La Vieille qui marchait dans la mer, suivi de deux César d'honneur en 1995 et en 2008. En 1998, l'Académie américaine des arts et des sciences du cinéma lui rend hommage lors d'une cérémonie. En 2000, elle est la première femme élue à l'Académie des beaux-arts de l'Institut de France, au fauteuil créé en 1998 dans la section Création artistique pour le cinéma et l'audiovisuel.
Le père de Jeanne Moreau, Anatole-Désiré Moreau, né à Mazirat dans l'Allier, fils d'un huilier, est le gérant de la brasserie "À la cloche d'or", au coin de la rue Fontaine et de la rue Mansart à Paris. Sa mère, Kathleen Buckley, née à Blackpool (Lancashire, Angleterre) est la fille d'un marin-pêcheur ; elle sera danseuse aux Folies Bergère et rejoindra plus tard la troupe de Joséphine Baker. Après avoir passé une partie de son enfance à Vichy et à Mazirat, la future comédienne achève ses études secondaires à Paris et commence à suivre, à l'insu de ses parents, les cours de théâtre de Denis d'Inès, alors doyen de la Comédie-Française. En 1946, elle entre dans sa classe comme auditrice, au Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paris. Début 1947, elle passe le concours d'entrée au Conservatoire tout en jouant un petit rôle dans Le Lever de soleil à la Comédie-Française. En septembre 1947, elle participe au premier Festival d'Avignon avec de brèves apparitions dans trois pièces (elle joue notamment la suivante de la reine Léone Nogarède dans Richard II). De retour au « Français », elle obtient, en décembre 1947, le rôle de Joas dans Athalie. Pensionnaire de la Comédie-Française, c'est à la suite de la publication d'une photo d'elle dans la pièce Un mois à la campagne que son père la chasse de la maison familiale. Elle se fait réellement remarquer en 1950 dans Les Caves du Vatican d'André Gide, mise en scène par Jean Meyer, où elle joue la petite prostituée. Ce rôle lui vaut la couverture de Paris Match et les félicitations de Paul Léautaud. Par la suite, elle incarne de nouveau un personnage de prostituée dans une reprise d’Othello, avec Aimé Clariond dans le rôle-titre ; à cette occasion Orson Welles, qui prépare l'adaptation cinématographique de la pièce, la remarque. Démissionnant de la Comédie-Française en 1952, elle rejoint le TNP de Jean Vilar, se produit au Festival d'Avignon où elle joue le rôle de l’infante dans le Cid, avec Gérard Philipe, alors qu'elle aurait voulu celui de Chimène. En 1952, elle revient au festival avec le rôle de Nathalie d'Orange dans Le Prince de Hombourg, mais y est mal à l'aise et accepte, sur le conseil de Gérard Philipe, la proposition du théâtre Antoine pour jouer dans la pièce L’Heure éblouissante d'Anna Bonacci (mise en scène de Fernand Ledoux), un rôle, encore une fois, de prostituée. Lors de cette pièce, elle rencontre l'écrivain Blaise Cendrars.
Elle obtient ses premiers rôles au cinéma dans Meurtres de Richard Pottier en 1950, puis dans Touchez pas au grisbi de Jacques Becker en 1954. La même année, elle est une très sensuelle et frivole Reine Margot pour Jean Dréville. C'est le début d'une très longue et remarquable carrière.
Caroline de Monaco, de son nom complet, Caroline Louise Marguerite Grimaldi, née le 23 janvier 1957 à Monaco, membre de la famille princière de Monaco. Par mariage, elle est princesse de Hanovre, duchesse de Brunswick et Lunebourg. Fille aînée du prince Rainier III et de la princesse Grace, elle fut baptisée le 3 mars 1957. Elle est troisième dans l'ordre de succession au trône de Monaco. Elle effectue une partie de ses études secondaires au sein du pensionnat St Mary’s School à Ascot (Berkshire). Elle obtient le baccalauréat en 1974, intègre l'Institut d'études politiques de Paris où elle effectue l'année préparatoire avant de préparer une licence de philosophie à la Sorbonne. Elle étudie aussi la psychologie et la biologie. Elle parle français, anglais, allemand, espagnol et italien.
En 1979, elle est nommée par ses parents présidente du Comité national monégasque de l'Année internationale de l'enfant. Elle fonde en 1981 l'association « Jeune, j'écoute », à l'origine un service d'écoute téléphonique pour jeunes en détresse, devenu un lieu d'accueil et de rencontre. À la suite du décès de sa mère, la princesse Grace, en 1982, elle reprend la présidence du "Garden Club de Monaco", du comité d'organisation du "Festival des arts de Monte-Carlo" et de la fondation "Princesse-Grace-de-Monaco". La fondation Princesse-Grace est très active en France : présence dans une trentaine d'hôpitaux pédiatriques (organisation de classe hôpital ou de maisons pour les parents), achat de fauteuils roulants pour des personnes démunies, financement du 1/3 du budget de trois grands laboratoires, etc.
En 1985, la princesse Caroline annonce officiellement la création de la "Compagnie des ballets de Monte-Carlo", exauçant un vœu de sa mère. Depuis 1988, elle est présidente du conseil d'administration et du conseil littéraire de la fondation Prince-Pierre-de-Monaco. En avril 1993, la princesse Caroline est nommée présidente de l'Association mondiale des amis de l'enfance "AMADE" fondée par sa mère, trente ans plus tôt, qui mène de nombreuses actions à travers le monde : création d'une quinzaine de maisons d'accueil aux Philippines, création d'un lieu d'accueil à côté de la prison de Phnom Penh (Cambodge) pour les enfants incarcérés avec leurs parents détenus, création d'une école hôtelière pour les orphelins au Burundi, construction d'une maison d'accueil pour les délinquants au Brésil, formation de chirurgiens du Laos pour pouvoir opérer les bébés atteints de malformation faciale, etc. À côté de ce soutien concret et financier, l'AMADE encourage le monde politique à renforcer les lois internationales pour défendre les enfants.
Le 2 décembre 2003, elle a été nommée par le directeur général de l'UNESCO ambassadrice de bonne volonté en reconnaissance de son engagement personnel en faveur de la protection de l'enfance et de la famille et de sa contribution à la promotion des programmes de l'UNESCO pour l'éducation des jeunes filles et des femmes. Le 20 mai 2006, elle se voit remettre le prix Children's Champion 2006 par le président du Comité américain de l'UNICEF, en reconnaissance de son engagement en faveur de l'enfance en danger, notamment comme présidente de l'AMADE. Depuis le décès de sa tante la princesse Antoinette de Monaco le 18 mars 2011, la princesse Caroline est devenue la doyenne de la famille Grimaldi.
Elle épouse en premières noces Philippe Junot (né dans le 17e arrondissement de Paris), le 19 avril 1940 à Monaco, civilement le 28 juin 1978 et religieusement le 29 juin 1978. Le divorce est prononcé par un tribunal monégasque le 9 octobre 1980. Une demande de reconnaissance de nullité du mariage religieux est introduite par la princesse Caroline en cour de Rome en 1981, et à la suite d'une longue procédure, le pape Jean-Paul II constate officiellement la nullité du mariage religieux le 1er juillet 1992. Elle se marie une deuxième fois, civilement, avec Stefano Casiraghi le 29 décembre 1983 au palais de Monaco. Stefano Casiraghi décède le 3 octobre 1990 dans un accident de motonautisme. Ils ont trois enfants :
Andrea Casiraghi (né le 8 juin 1984), quatrième dans l'ordre de succession au trône ; Charlotte Casiraghi (née le 3 août 1986) ; Pierre Casiraghi (né le 5 septembre 1987). Ces enfants issus de ce deuxième mariage sont reconnus légitimes au regard de l'Église par le pape Jean-Paul II le 25 février 1993, décision rendue publique début avril 1993 et confirmée le 5 avril 1994 bien qu'issus d'un mariage purement civil : le constat de nullité du premier mariage de Caroline étant postérieur au décès de Stefano Casiraghi, décès qui a seul empêché tout mariage religieux ; Caroline avait fait une demande au pape en ce sens le 2 juillet 1992 dès le constat de nullité de son premier mariage. Ces enfants issus de ce second mariage étaient du reste déjà légitimes selon le droit monégasque du fait du mariage civil de leurs parents.
Après une histoire d'amour médiatisée avec Vincent Lindon, elle se marie une troisième fois avec le prince Ernst August de Hanovre, chef de la maison de Hanovre. Le mariage civil a lieu à Monaco le 23 janvier 1999 et une fille est issue de cette union : la princesse Alexandra de Hanovre (née le 20 juillet 1999).
Le couple est séparé depuis 2009.
Christophe Dechavanne, journaliste, animateur de radio et télévision, producteur, et acteur français, né le 23 janvier 1958 à Paris.
D'abord animateur de radio sur Radio 7 et France Inter, il se fait connaître du grand public durant les années 1980 en présentant "C'est encore mieux l'après-midi" sur Antenne 2. Recruté par la chaîne privée TF1, il devient l'un des animateurs les plus populaires de France grâce aux émissions-débats "Ciel, mon mardi !" et "Coucou c'est nous !". Après l'échec de sa nouvelle émission "Tout le toutim", il retrouve le service public et anime notamment des soirées spéciales. C'est en 2003 qu'il relance sa carrière télévisuelle en animant des émissions de téléréalité comme "La Ferme Célébrités", puis en présentant des jeux télévisés, notamment "La Roue de la fortune" de 2006 à 2011, "Une famille en or" de 2007 à 2014, "Wish List" : "La Liste de vos envies" en 2015-2016 et "The Wall : Face au mur" en 2017. Il est également gérant de la société de production "Coyote" depuis 1989.
Merci de mettre un petit "j'aime" en bas de page, les commentaires sont également les bienvenus.