Nés un 17 janvier
Iolanda Gigliotti, dite Dalida, chanteuse et actrice française, née le 17 janvier 1933 au Caire (Égypte), morte le 3 mai 1987 à Paris 18e (France).
Issue d'une famille italienne installée en Égypte, elle est élue Miss Égypte 1954 et tourne plusieurs films au Caire. Résidant en France à partir de 1954, elle connaît son premier succès de chanteuse avec le titre Bambino en 1956. Se façonnant un répertoire regroupant plus de sept cents chansons interprétées en plusieurs langues, elle devient une grande figure de la chanson française et bénéficie d'une popularité dépassant la scène francophone. Parmi ses chansons les plus connues, figurent Come prima, Les Gitans, Gondolier, Les Enfants du Pirée, Itsi bitsi petit bikini, La Danse de Zorba, Bonsoir mon amour, Le Temps des fleurs, Darla dirladada, Paroles... Paroles..., Gigi l'amoroso, Il venait d'avoir 18 ans, Salma Ya Salama, Laissez-moi danser et Mourir sur scène. Embrassant plusieurs styles musicaux, tels que le twist, la pop et le raï, elle est également une des premières artistes françaises à interpréter des chansons disco avec les titres J'attendrai et Bésame mucho.
Souffrant d’une dépression — en raison notamment d'une succession de drames personnels —, elle se suicide quelques mois après avoir été l'actrice principale du film dramatique égyptien Le Sixième Jour. Sa vie privée et sa mort font d'elle une icône au destin tragique.
Iolanda Cristina Gigliotti naît le 17 janvier 1933 à Choubra, un faubourg du Caire, de parents italiens originaires de Serrastretta, en Calabre. Son père, Pietro Gigliotti (1904-1945), est premier violon à l'Opéra du Caire ; elle le suit en coulisse lors de ses répétitions. Sa mère, Filomena d'Alba (1904-1971), est couturière.
Elle est la seule fille d'une famille de trois enfants : Orlando (1928-1992) est l'aîné et Bruno (né en 1936) le cadet. Ce dernier prendra par la suite pour nom de scène Orlando, le prénom de son frère aîné, et deviendra l'agent artistique de Dalida.
À la fin de l'année 1933, alors qu'elle est âgée de 10 mois, elle est plongée dans le noir en raison d'une infection des yeux : elle porte un bandage sur les yeux pendant 40 jours, sur recommandation de son médecin. Cet épisode provoque chez elle de violents maux de tête et un strabisme divergent que plusieurs interventions chirurgicales — y compris à l'âge adulte — atténueront, mais qui l'oblige à porter des lunettes jusqu'à 16 ans. Elle étudie dans une école religieuse de Choubra et fait ses premiers pas sur la scène du club de théâtre de l’école. Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate, son père, comme tous les immigrés italiens, est interné dans le camp de Fayed, près du Caire, l'Égypte étant devenue une alliée du Royaume-Uni avec le traité anglo-égyptien de 1936. Tous les deux mois, elle lui rend visite, mais le voit progressivement dépérir. Son père revient du camp en 1944 avec des migraines et l'amertume de sa carrière gâchée. La famille doit alors subir son instabilité psychologique et sa violence. Cette période traumatise la jeune Iolanda Gigliotti. Son père meurt d'une congestion cérébrale un an plus tard.
Fascinée par l'actrice américaine Rita Hayworth, Iolanda Gigliotti rêve d'exercer le métier d'actrice elle aussi. Elle prend alors des cours de théâtre à l'école. Après la réussite d'une opération visant à réduire son strabisme divergent, elle se présente à un concours de beauté. Le jury, séduit par la jeune femme, lui décerne le titre de Miss Ondine du Caire. En 1954, elle réitère l’expérience avec le concours national et obtient le titre de Miss Égypte. L'année suivante, elle ne peut pas représenter l'Égypte au concours Miss Monde 1955 : le pays n’est pas présent pour cette édition en raison de la crise du canal de Suez et des hostilités présentes entre le Royaume-Uni, la France et l'Égypte. Sa victoire au concours de Miss Égypte lui ouvre les portes du cinéma égyptien. En effet, l'élection est suivie par Niazi Mostafa, un réalisateur égyptien, et par Marco de Gastyne, un réalisateur français. Le premier l'engage pour tourner dans son film Un verre, une cigarette. Le deuxième lui propose de jouer le rôle d'une espionne dans le film Le Masque de Toutankhamon. Sur les conseils de Marco de Gastyne, qui croit en son talent, elle décide de partir en France pour continuer sa carrière. Elle arrive à Paris le 25 décembre 1954. Quelques mois après s'être installée dans un appartement proche des Champs Élysées, elle fait la rencontre d'Alain Delon, qui est son voisin de palier. Au fil des mois, le manque de ressources financières pèse sur elle, mais elle continue d'écrire à sa famille en lui disant que tout va bien. Elle espère faire carrière dans le cinéma, mais prend rapidement conscience que son maigre bagage ne pèse guère aux yeux des producteurs français, elle s'oriente alors vers la chanson. Après avoir chanté plusieurs soirées dans le cabaret "Le Drap d'Or" à Paris, elle est repérée par le directeur de la "Villa d'Este" où elle va chanter dans un répertoire à l'exotisme latin. Au début de sa carrière, elle a pour nom de scène « Dalila ». Sur les conseils de l'écrivain et scénariste Alfred Machard qui pense que ce pseudonyme fait trop penser aux mythiques Samson et Dalila, elle le change très vite en « Dalida ». Elle obtient la nationalité française en 1961. À la recherche de nouveaux talents pour son music-hall, Bruno Coquatrix lui suggère de participer à un concours pour amateurs, « Les Numéros 1 de demain », organisé à l'Olympia le 9 avril 1956. Sont présents Eddie Barclay, jeune producteur de disques (qui vient d'importer le disque microsillon des États-Unis en France), et Lucien Morisse, directeur des programmes d'Europe 1. Ce dernier, subjugué par le charme oriental de Dalida, la convoque dans ses bureaux de la rue François-Ier et prend sa carrière en main. Le 28 août 1956, sort le premier EP de Dalida, Madona, adaptation française d'un titre portugais d'Amália Rodrigues, Barco Negro, mais celui-ci connaît un succès mitigé. Le titre est suivi, un mois plus tard, par Le Torrent, qui reçoit un accueil similaire. En octobre 1956, Lucien Morisse pense avoir déniché le titre phare de Dalida, Bambino, version française de la chanson Guaglione. Morisse bloque la chanson, la fait enregistrer en une nuit et la fait passer toutes les heures à l'antenne d'Europe 1. Bambino rencontre un grand succès en France et parvient à se classer en tête des ventes pendant plusieurs semaines. Sur cette lancée, Dalida partage quelques semaines plus tard la même scène de l'Olympia en première partie du spectacle de Charles Aznavour, puis en vedette américaine de Gilbert Bécaud.
La chanteuse fait éditer son premier album dans de nombreux pays, dont les États-Unis. Le 26 décembre 1958, Norman Granz, l'imprésario d'Ella Fitzgerald, profite de la venue de Dalida, aux États-Unis, pour lui proposer un contrat de 15 ans à Hollywood. Toutefois, la chanteuse décline la proposition. Un même contrat lui sera proposé, en décembre 1978, qu'elle refusera à nouveau.
Muhammad Ali, nom couramment retranscrit en français Mohamed Ali ou Mohammed Ali, boxeur américain, né le 17 janvier 1942 à Louisville, au Kentucky, mort le 3 juin 2016 à Scottsdale, en Arizona. Il évoluait en catégorie poids lourds, considéré comme un des plus grands boxeurs de tous les temps. Il est né sous le nom de Cassius Marcellus Clay, Jr., il le change en Mohamed Ali à l'âge de 22 ans après avoir rejoint l'organisation "Nation of Islam" en 1965 au moment de sa conversion à l'islam. Considéré comme une icône culturelle, Mohamed Ali a été à la fois adulé et vilipendé. Il accède à la notoriété internationale à 18 ans en remportant la médaille d'or des poids mi-lourds aux Jeux olympiques de Rome 1960. En 1967, trois ans après avoir remporté le championnat du monde des poids lourds face à Sonny Liston, il est critiqué pour son refus d'être enrôlé dans l'armée américaine par opposition à la guerre du Vietnam en disant : « Aucun Vietcong ne m'a jamais traité de nègre ». Mohamed Ali est arrêté et reconnu coupable de fraude. Il n'est pas emprisonné, mais dépossédé de son titre mondial et de sa licence de boxe. Il ne combat plus pendant près de quatre ans, jusqu'à ce que son appel soit finalement reçu par la Cour suprême américaine.
Surnommé The Greatest, Mohamed Ali devient le premier triple champion du monde poids lourds. Il a participé à plusieurs combats de boxe historiques. Parmi ceux-ci, trois disputés contre son rival Joe Frazier sont considérés parmi les plus grands combats dans l'histoire de la boxe, ainsi que son affrontement contre George Foreman à Kinshasa dont il sort vainqueur par K.O. au 8e round devant environ 100 000 spectateurs, le 30 octobre 1974. Mohamed Ali est également connu pour son style de combat peu orthodoxe pour un poids lourds, incarné par son slogan « vole comme un papillon, pique comme une abeille » et employant des techniques telles que le « Shuffle Ali », le « rope-dope », ainsi que, en amont du combat, le « trash-talking » (en haranguant ses adversaires, il mène à leur encontre une véritable « guerre psychologique » et médiatique, pour les déstabiliser). Grâce à ses compétences et sa personnalité hors du commun, Mohamed Ali est devenu un des athlètes les plus célèbres dans le monde entier. Élu à 6 reprises meilleur boxeur de l'année par Ring Magazine (un record) et intégré à l'International Boxing Hall of Fame, Ali est considéré comme l'un des plus grands boxeurs de l'histoire.
En 1999, il est couronné « Sportif du siècle » par Sports Illustrated et « Personnalité sportive du siècle » par la BBC. Il est nommé sportif du XXe siècle par une assemblée de journalistes internationaux, précédant Pelé. Il reçoit, à Berlin en mars 2005, la médaille de la paix Otto Hahn, au nom de l'Organisation des Nations unies « pour son engagement en faveur du mouvement américain contre la ségrégation et pour l'émancipation culturelle des Noirs à l'échelle mondiale ». Il est décoré en 2005 de la médaille présidentielle de la Liberté, la plus haute distinction civile aux États-Unis. Au-delà de ses performances sportives, il atteint une notoriété inégalée chez un sportif par son goût du spectacle, sa personnalité provocatrice, ses prises de positions religieuses et politiques, puis son destin personnel. Il est atteint de la maladie de Parkinson à partir de 1984, qu'il expose devant le monde entier lorsqu'il allume la vasque olympique à Atlanta en 1996.
Il meurt le 3 juin 2016 à l'âge de 74 ans, à la suite de problèmes respiratoires.
Cassius Marcellus Clay naît le 17 janvier 1942 à Louisville dans le Kentucky, d’Odessa Clay Marcellus et de Cassius Marcellus. Il grandit dans un quartier noir de Louisville. Sa mère travaille comme femme de ménage et comme cuisinière des familles blanches aisées et son père vend des gravures religieuses et commerciales.
Sans être riches, les Clay peuvent donner une éducation correcte à leurs enfants. Alors qu’il est âgé de 12 ans en 1954 à Louisville dans le Kentucky, le jeune Cassius Clay est victime d’un vol de vélo. Énervé, il rencontre un policier, à qui il fait part de son intention d’infliger une correction au voleur. Le policier, Joseph Elsby Martin Sr., lui dit qu’il ferait mieux de commencer par apprendre à boxer. Le jour suivant, Cassius suit son conseil et commence à prendre des cours de boxe sous la houlette de Martin. Quelques semaines plus tard, il dispute son premier combat et remporte sa première victoire. Ali mettra au crédit de Martin de lui avoir appris à voler comme un papillon et piquer comme une abeille.
Françoise Hardy est une chanteuse française, née le 17 janvier 1944 à Paris.
Auteur, compositrice et interprète, elle poursuit une carrière essentiellement discographique. Sur des mélodies mélancoliques, qu’elle affectionne, le répertoire de Françoise Hardy est en grande partie le reflet des doutes, des interrogations et de l’anxiété que suscitent en elle les tourments des relations sentimentales et de la nostalgie en général. Parallèlement à l’écriture de chansons, elle porte de l'intérêt à l’astrologie, qu’elle appréhende comme complément à la psychologie.
La jeunesse de Françoise Hardy se déroule en vase clos au 24 rue d'Aumale, dans le 9e arrondissement de Paris, auprès d’une mère aide-comptable, Madeleine Hardy, restée célibataire, et d’une sœur, sa cadette d’un an et demi.
Son père, directeur d'une fabrique de machines à calculer, frère d'un jésuite, résistant, déporté à Dachau, est issu d'une famille bourgeoise de Blois. Marié à une autre femme, il est rarement présent et oublie souvent de payer la pension alimentaire ou les frais scolaires. Il ne reconnaîtra ses filles que bien plus tard.
Complexée et sentimentale, subissant les brimades répétées de sa grand-mère maternelle, la jeune Françoise se réfugie dans la lecture et l'écoute des chansons diffusées à la radio. C'est sa découverte du rock 'n' roll sur une radio étrangère qui lui fait choisir, à seize ans, une guitare en récompense de sa réussite à son premier bac en juin 1960. Après une première année d’études supérieures à la Sorbonne, en allemand, une annonce dans le journal France-Soir retient toute son attention : une maison de disques souhaite auditionner de jeunes chanteurs. Françoise obtient un rendez-vous et passe un essai qui reste sans suite. Avant de contacter d’autres sociétés, elle s'inscrit au Petit Conservatoire de la chanson de Mireille, elle y restera deux ans. Elle se présente ensuite chez les disques Vogue, un label qui possède Johnny Hallyday dans son catalogue et qui souhaite trouver son pendant féminin. Intéressé par son style, le responsable des auditions l’invite à se perfectionner et lui donne des cours de solfège. Quelques mois après, le 14 novembre 1961, le directeur artistique de Vogue lui fait signer un contrat. Aidée d’une méthode d'apprentissage sommaire, elle s’essaye à poser quelques accords sur des mots qui traduisent ses états d’âme et se met à rêver d’un métier ayant un rapport, de près ou de loin, avec le milieu musical. Les cours prodigués par le "Petit Conservatoire de la chanson" font l’objet d’une émission télévisée hebdomadaire, intitulée "En attendant leur carrosse" et diffusée sur l'unique chaîne en noir et blanc de la RTF.
« Mademoiselle Hardy » y fait sa première apparition le 6 février 1962 avec une chanson titrée La Fille avec toi. L’enregistrement de son premier 45 tours est bouclé le 25 avril. Sur ce disque se trouve l'adaptation française d’une chanson américaine (Oh oh chéri), sur laquelle mise la production, et trois de ses propres compositions. Peu avant sa sortie chez les disquaires, la chanteuse le présente avec fierté à Mireille dans l’émission du 5 juin 1962. Les quatre titres ne tardent pas à être diffusés par la radio. Bien accueillis par la jeunesse, 2 000 exemplaires du 45 tours sont achetés en trois mois. Pour le grand public, la chanteuse se révèle dans la soirée du dimanche 28 octobre 1962. Ce soir-là, de nombreux téléspectateurs attendent les résultats du référendum sur l'élection au suffrage universel du président de la République ; dans l’un des intermèdes musicaux Françoise Hardy apparaît pour chanter Tous les garçons et les filles. Dès le lendemain et les jours suivants, ce titre va se démarquer des trois autres sur les ondes radios et dans les juke-boxes et devenir un « tube » incontournable. À la fin de l’année, 500 000 exemplaires du 45 tours seront vendus ; la carrière de Françoise a démarré.
Jamy Gourmaud, souvent désigné par son seul prénom Jamy, journaliste, animateur de télévision et vulgarisateur français, né le 17 janvier 1964 à Fontenay-le-Comte (Vendée).
Depuis 1993, il anime de nombreuses émissions scientifiques sur France 3, dont "C'est pas sorcier" avec Frédéric Courant et Sabine Quindou, ainsi que "Incroyables Expériences" jusqu'en 2012, puis "Le Monde de Jamy".
Il fait ses études secondaires au lycée Saint-Gabriel-Saint-Michel dans la commune de Saint-Laurent-sur-Sèvre (Vendée), puis au lycée Notre-Dame-de-Toutes-Aides à Nantes, où il obtient un baccalauréat littéraire. Par la suite, il passe deux ans en première année de DEUG en droit, puis est diplômé de l'Institut pratique de journalisme (IPJ) en 1988. En 1990, il reçoit le prix du Jeune reporter au "Festival international du scoop et du journalisme" d'Angers pour son émission sur les maternités roumaines. Il rejoint Fractales sur France 3 en 1992, après des expériences dans la presse écrite et la radio.
En 1993, Jamy Gourmaud crée et anime avec Frédéric Courant dit « Fred » "C'est pas sorcier", une émission de vulgarisation scientifique, qui va disposer d'une importante notoriété. Son premier épisode est diffusé le 17 octobre 1993. Jamy y joue le rôle de l'explicateur et reste dans le camion de l'émission lors de ses interventions. Il a également tourné "26' d'arrêt", "C'est clair pour tout le monde" et "C'est pas la mer à boire" toujours avec Frédéric Courant.
Depuis septembre 2000, Jamy Gourmaud est chroniqueur scientifique dans l'émission "Pourquoi ? Comment ?" sur France 3 et dans "Mise au point", sur La Cinquième. À partir de 2001, il anime "Quelle aventure !" qui est une émission de reconstitutions historiques. Il est également présent dans les émissions Spéciale Santé, "vos questions, nos réponses" sur France 3, avec Michel Cymes et Marina Carrère d'Encausse. Le 6 septembre 2004, il est l'invité d'Isabelle Giordano dans l'émission "Le Fabuleux Destin de..." sur France 3. En 2007, il fonde l'agence de communication pédagogique Les Apprentis, avec l'entrepreneur français David Hairion. En 2008, il prête sa voix et son image au Futuroscope dans une nouvelle attraction interactive, "Les Animaux du futur". Il coprésente "Le Lauréat de l'histoire" avec Stéphane Bern, le 30 avril 2008 sur France 3. À partir d'octobre 2008, il anime sur France 2 avec Tania Young plusieurs numéros de "Incroyables Expériences" en première partie de soirée, une émission consacrée aux expériences scientifiques. Durant les mois d'avril et mai 2009, "Incroyables Expériences" est présenté tous les jours à 18 h avec Tania Young sur France 2, puis un lundi par mois en première partie de soirée sur France 3.
En octobre 2009, il écrit la préface du livre de Christophe Cachera, La Méthode facile pour écrire comme un pro. En 2010, il présente "Mission Millenium", un jeu d'aventure se déroulant au Mexique. Le 28 décembre 2011, il présente en deuxième partie de soirée l'émission "Enquêtes d’archéologie". La première émission est consacrée à Néfertiti. En 2012, il fait une apparition dans la saison 2 de "Bref", dans un épisode intitulé : "Bref. Y a des gens qui m'énervent".
Après vingt ans d'existence et 550 épisodes, "C'est pas sorcier" prend fin en 2013, en raison d'une baisse importante d'audience et de coûts de production trop élevés. Fred, Jamy et l'équipe de l'émission envisagent alors un nouveau concept, qui serait diffusé en prime-time. Le projet est avorté par l'éviction de Fred par France Télévisions en août de la même année.
Sylvie Testud, comédienne, romancière et réalisatrice française, née le 17 janvier 1971 à Lyon. Après avoir reçu le César du meilleur espoir féminin en 2001 pour Les Blessures assassines, elle reçoit le César de la meilleure actrice dans Stupeur et Tremblements en 2004.
Ses parents se séparent lorsqu'elle a deux ans. Elle passe son enfance et son adolescence dans le quartier lyonnais de la Croix-Rousse, élevée par sa mère, comptable. Elle décide de devenir actrice au cours de sa jeunesse, après avoir admiré les actrices dans les films. Elle prend alors des cours de théâtre à Lyon avec le comédien et metteur en scène Christian Taponard. En 1989, elle s'installe à Paris pour suivre des études d'histoire, ainsi que des cours d'art dramatique aux classes libres du Cours Florent, puis au Conservatoire national supérieur d'art dramatique pendant trois ans, avec Jacques Lassalle et Catherine Hiegel pour professeurs.
Au début des années 1990, elle obtient ses premiers petits rôles au cinéma, puis dans des longs métrages comme L'Histoire du garçon qui voulait qu'on l'embrasse de Philippe Harel (1994), Le Plus Bel Âge..., de Didier Haudepin (1995) ou encore Love, etc. de Marion Vernoux (1996). En 1997, Sylvie Testud connaît un premier grand succès au cinéma en Allemagne avec le film Au-delà du silence de Caroline Link, pour lequel elle apprend l'allemand, la clarinette et la langue des signes. Elle est récompensée en tant que meilleure actrice par le Prix du film allemand (l'équivalent du César de la meilleure actrice). En 1998, elle joue son premier grand rôle au cinéma français et connaît un grand succès en France avec le rôle de Béa dans Karnaval, le premier long-métrage de Thomas Vincent, pour lequel elle est nommée au César du meilleur espoir féminin et reçoit le Prix Michel Simon. Elle commence alors une importante carrière d'actrice avec une préférence pour le cinéma d'auteur. En 2000, sa prestation dans La Captive de Chantal Akerman (adaptation du roman La Prisonnière de Marcel Proust) lui vaut une nomination en tant que meilleure actrice au Prix du cinéma européen. En 2001, elle obtient, pour sa deuxième nomination, le César du meilleur espoir féminin pour l'interprétation remarquée de Christine Papin, une des sœurs Papin, dans Les Blessures assassines de Jean-Pierre Denis, d'après un fait divers de 1933.
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