Nés un 15 janvier
Maurice Herzog, alpiniste et un homme politique français, né à Lyon le 15 janvier 1919, mort le 13 décembre 2012 à Neuilly-sur-Seine.
Maurice Herzog s'est marié une première fois à Paris le 23 juillet 1964 à Marie-Pierre de Cossé-Brissac, fille de Pierre de Cossé Brissac, avec qui il a ses deux premiers enfants, Laurent Herzog (né le 24 juin 1965, mort le 26 avril 1999) et Félicité Herzog (née en 1968). Il s'est remarié à Élisabeth Gamper en 1976, avec qui il a eu deux autres enfants : Sébastien et Mathias. Il est le frère de l'écrivain, cinéaste Gérard Herzog, le beau-frère du réalisateur Jacques Ertaud et le petit-fils d'Oscar Herzog, l'ingénieur chargé du projet (conception et réalisation) du jet d'eau de Genève.
Il a été pilote d'avion, président du Club alpin français (CAF) de 1952 à 1955, fondateur en 1964 et président de l'Office franco-allemand pour la jeunesse et, de 1970 à 1994, membre du Comité international olympique (CIO), puis membre honoraire. En 1965, secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports, il participe à la création de l'association d'activités sportives de plein air UCPA.
Il a vraisemblablement aussi tenté de jouer un rôle dans le groupe Schneider, sa première femme faisant partie de la famille Schneider. Il a vécu ses dernières années à Neuilly-sur-Seine.
Maurice Herzog fut le premier à gravir avec Louis Lachenal et une expédition composée de Gaston Rébuffat, Lionel Terray, Marcel Ichac, Jean Couzy, Marcel Schatz, Jacques Oudot (médecin) et Francis de Noyelle (agent de liaison), un sommet de plus de 8 000 mètres, l'Annapurna, le 3 juin 1950. Il eut les orteils et les doigts gelés lors de cette expédition ; il fallut ensuite les lui amputer.
Louis Lachenal a au également les pieds gelés et dut être amputé. La descente ressemblera fort à un long chemin de croix qui durera plus d'un mois, du 4 juin au 7 juillet : mauvais temps persistant en cette période de course contre la mousson (brouillard, avalanches, orages…), souffrances multiples (aux pieds, aux yeux...), terrains accidentés (passages de gorges, de moraines encombrées de blocs rocheux, traversée de kilomètres de ravins et de forêts, franchissement de torrents tumultueux…), défection des porteurs, etc.
Martin Luther King Jr., pasteur, baptiste, plus couramment appelé Martin Luther King, né à Atlanta, en Géorgie, le 15 janvier 1929, mort assassiné le 4 avril 1968 à Memphis, dans le Tennessee, il était un militant non-violent afro-américain pour le mouvement des droits civiques des noirs américains aux États-Unis, fervent militant pour la paix et contre la pauvreté. Il organisait et dirigeait des actions telles que le boycott des bus de Montgomery pour défendre le droit de vote, la déségrégation et l'emploi des minorités ethniques. Il prononça un discours célèbre le 28 août 1963 devant le Lincoln Memorial à Washington, D.C. durant la marche pour l'emploi et la liberté : discours intitulé « I have a dream ». Ce discours fut soutenu par John Fitzgerald Kennedy dans la lutte contre la ségrégation raciale aux États-Unis ; le président Lyndon B. Johnson par une plaidoirie infatigable auprès des membres du Congrès arrivera à faire voter différentes lois fédérales comme le Civil Rights Act de 1964, le Voting Rights Act de 1965 et le Civil Rights Act de 1968 mettant juridiquement fin à toutes les formes de ségrégation raciale sur l'ensemble des États-Unis.
Martin Luther King devient le plus jeune lauréat du prix Nobel de la paix en 1964 pour sa lutte non-violente contre la ségrégation raciale et pour la paix. Il commença alors une campagne contre la guerre du Viêt Nam et la pauvreté, qui prit fin en 1968 avec son assassinat officiellement attribué à James Earl Ray, dont la culpabilité et la participation à un complot sont toujours débattues. Il se voit décerner à titre posthume la médaille présidentielle de la Liberté par Jimmy Carter en 1977, le prix des droits de l'homme des Nations unies en 1978, la médaille d'or du Congrès en 2004, et est considéré comme l'un des plus grands orateurs américains.
Depuis 1986, le Martin Luther King Day est un jour férié aux États-Unis. Deux centres Martin Luther King pour l'action non-violente existent, l'un en Suisse à Lausanne et l'autre à Atlanta. De nombreux autres monuments (musées, écoles) sont répertoriés sous le nom de Martin Luther King partout dans le monde.
Martin Luther King est le fils du pasteur baptiste Martin Luther King Sr. et d'Alberta Williams King, organiste d'église. Il a une sœur aînée, Christine King Farris, et un plus jeune frère, Albert Daniel Williams King. Il naît au 501, Aubrun Avenue à Atlanta, dans une maison qui a été conservée et transformée en musée national, à quelques pas de l'église baptiste Ebenezer, où prêchait son père. Il grandit au sein de l'Amérique ségrégationniste, dans un milieu privilégié pour l'époque. Sa première expérience de la ségrégation raciale date de ses six ans, quand deux camarades de jeu blancs lui disent qu'ils ne sont plus autorisés à jouer avec lui. Sa mère lui explique alors que c'est parce qu'ils sont maintenant dans des écoles ségrégationnistes blanches. Après avoir sauté deux années de high school (lycée) et sans avoir officiellement obtenu son certificat de fin d'études secondaires, Martin entre à l'âge de quinze ans à Morehouse College, une université réservée aux garçons noirs. Il en sort avec le diplôme de Bachelor of Arts en sociologie (licence) le 20 juin 1948 et rentre au Crozer Theological Seminary pour un Bachelor of Divinity à Chester (Pennsylvanie) — Diplôme qui correspond à une licence universitaire en théologie. — qu'il obtient le 12 mai 1951. Il obtient son doctorat en théologie, à l'université de Boston, le 18 juin 1955. Des accusations de plagiat contre sa thèse de doctorat à l'université de Boston aboutissent en 1991 à une enquête officielle des responsables de cette université. Ceux-ci concluent qu'un tiers environ de la thèse est plagié d'un article écrit par un étudiant diplômé antérieurement, mais il est décidé de ne pas retirer son titre à Martin Luther King, car la thèse constitue tout de même « une contribution intelligente au savoir ». On trouve également des emprunts tacites dans certains discours de King, mais Keith Miller soutient que dans ce dernier cas, c'est une pratique courante des Afro-Américains et que l'on ne peut considérer cela comme du plagiat. Toutefois, comme Theodore Pappas le note dans son livre sur le sujet, Martin Luther King avait en fait suivi un cours sur les normes de la production intellectuelle et le plagiat à l'université de Boston. Il est dans sa jeunesse notamment influencé par les écrits de Karl Marx, Mohandas Karamchand Gandhi, du pasteur pacifiste et socialiste Norman Thomas et de Reinhold Niebuhr sur le christianisme social. En 1952, dans une lettre à sa future épouse Coretta, il écrit que « Le capitalisme est arrivé au bout de son utilité historique » et se déclare « socialiste ».
Il épouse, le 18 juin 1953, Coretta Scott, qui prendra son nom pour devenir Coretta Scott King. Ils ont eu quatre enfants : Yolanda, née en 1955, Martin Luther King III, né en 1957, Dexter Scott, né en 1961, et Bernice, née en 1963.
Soirée "Bretagne à Bercy"
Dan Ar Braz, nom de scène de Daniel Le Bras, guitariste auteur-compositeur-interprète français, né le 15 janvier 1949 à Quimper (Finistère). De culture bretonne, la majeure partie de son œuvre relève de la musique celtique électrique. Dan Ar Braz accompagne dès la fin des années 1960 Alan Stivell, précurseur de la musique bretonne moderne. Jusqu'en 1977, il est au côté du harpiste breton pour ses albums mais surtout sur scène, porté par la « vague » bretonne en France et à l'international. À l'époque où il joue avec les Anglais de "Fairport Convention" dans les années 1970, il est considéré par le magazine britannique Melody Maker comme un des dix meilleurs guitaristes vivants au monde. Après une période en solo, ponctuée d'albums plus intimistes et de concerts à l'étranger, il se lance dans l’aventure de l’Héritage des Celtes en 1993, qui fédère de nombreux artistes européens. Cette réunion autour des musiques celtiques rencontre un large succès populaire en France et une reconnaissance professionnelle, étant récompensée par deux Victoires de la musique. En 1996, il représente la France au concours de l’Eurovision avec une chanson en breton. Lorsqu'il met un terme à la réunion interceltique, il se recentre sur la Bretagne et privilégie les collaborations avec ses amis : Carlos Núñez, Jean-Jacques Goldman, Jean-Félix Lalanne, Clarisse Lavanant, les sonneurs du Bagad Kemper, etc.
La passion de la musique s'installe en lui très jeune, quand il emprunte la guitare de son père pour « gratouiller ». Il écoute avec envie un groupe de garçons de son école Saint-Louis à Châteaulin — où il est pensionnaire — qui enchaîne des morceaux country sous le nom des "Inutiles". Il a dix ans lorsqu'il entend avec émotion le son d'une cornemuse écossaise lors d'une promenade en bateau au large de Bénodet. Il lui faut attendre sa communion solennelle en 1962 pour obtenir l'achat de sa première guitare personnelle, une semi-acoustique. Âgé de quatorze ans, il prend trois cours de musique avec une Quimpéroise, souhaitant apprendre Apache des Shadows et Satisfaction. Puis il arrête et progresse seul à l'oreille.
Il découvre le harpiste et chanteur Alan Stivell en 1966 lors du festival de Cornouaille. En 1967, alors qu’il travaille comme serveur dans une salle de restaurant à Bénodet, Dan rencontre par hasard Alan Stivell qui vient jouer pour se faire un peu d'argent. C'est la première rencontre mais dans la foulée, Dan part au service militaire. En parallèle de son service militaire, il continue d'animer les bals, avec les MK Gods de Brest, et il se fait embaucher par Stivell pour quelques concerts en Bretagne. Celui-ci va le rebaptiser « Dan Ar Bras », qui deviendra en 1984 « Braz », Dan se rendant compte que les anglophones ne prononcent pas le « s ». Il accompagne occasionnellement Alan sur scène, avec le violoncelliste Henri Delagarde. C’est le début d’une collaboration qui durera une dizaine d’années.
Marius Trésor, footballeur international français, né le 15 janvier 1950 à Sainte-Anne en Guadeloupe. Il évoluait au poste de libéro du début des années 1970 au début des années 1980. Il est considéré comme un des meilleurs défenseurs français de l'histoire. Formé à la Juventus de Sainte-Anne, il joue de 1969 à 1972 à l'AC Ajaccio puis de 1972 à 1980 à l'Olympique de Marseille avec qui il gagne la Coupe de France en 1976. Il signe ensuite aux Girondins de Bordeaux où il remporte le titre de champion de France en 1984.
Il débute en équipe de France en 1971 et participe à la Coupe du monde 1978 puis finit 4e de la Coupe du monde 1982. Il est sélectionné à 65 reprises et marque 4 buts sous le maillot bleu. Il détient brièvement le record de sélections en équipe de France avant d'être dépassé en 1985 par son ancien coéquipier Maxime Bossis.
Marius Trésor découvre le football au sein du club local, la Juventus de Sainte-Anne. Il joue défenseur puis attaquant à la demande de son entraîneur, Félix Fahrasmane. C'est à ce poste qu'il joue une saison et demie et remporte le Championnat de Guadeloupe en 1969.
Repéré par l'AC Ajaccio dès 1968, il rejoint comme avant-centre le club corse en 1969. Sa présence au sein de l'attaque ajaccienne ne dure qu'un mois et demi, son entraîneur Alberto Muro le replace en défense centrale, et débute à ce poste en équipe première le 23 novembre 1969 à l'occasion d'un match contre Valenciennes.
Marius Trésor joue trois matchs avec les espoirs en 1971 sous la direction d'Henri Guérin, celui-ci le recommande au sélectionneur de l'équipe A, Georges Boulogne. Il débute ainsi en équipe de France le 4 décembre 1971, lors d'un match de qualification du Championnat d'Europe, contre la Bulgarie, au poste inhabituel d'arrière gauche. Même si la France perd 2-1 et est ainsi éliminée du Championnat d'Europe 1972, Marius trésor est crédité d'un bon match. Georges Boulogne l'associe en défense centrale à Jean-Pierre Adams le 25 juin 1972 face à l'Argentine lors de la Coupe de l'Indépendance du Brésil, cette charnière est renouvelée par le nouveau sélectionneur Stefan Kovacs et dure jusqu'en 1976. Face à l'équipe d'Allemagne en octobre 1973, Marius Trésor marque son premier but en équipe nationale (score final : 1-2). En 1974, lors d'un match contre la Pologne, victoire 2-0, Stefan Kovacs déclare en conférence de presse, « si la défense française a été si solide, c'est grâce à ma garde noire ». C'est en capitaine de l'équipe de France, le premier d'origine antillaise, qu'il débute les qualifications pour la Coupe du monde 1978 le 9 octobre 1976 contre la Bulgarie (2-2). Le 30 juin 1977, au stade Maracana de Rio de Janeiro, il marque un but superbe contre le Brésil en match amical (score final : 2-2). Marius Trésor est choisi par Michel Hidalgo pour faire partie de la sélection française disputant la Coupe du monde 1982. Lors de la demi-finale contre l'Allemagne à Séville, il marque un but spectaculaire en expédiant une reprise de volée sous la transversale d'Harald Schumacher, le gardien allemand (RFA). Le 5 octobre 1983, lors d'un match contre l'Espagne, Trésor bat le record des sélections de Roger Marche, obtenu justement contre l'Espagne en 1959. Il connaît sa dernière sélection un mois plus tard, le 12 novembre contre la Yougoslavie. Entre 1971 et 1983, il sera sélectionné à 65 reprises et marquera 4 buts pour la sélection nationale. En 2004, il a été nommé au FIFA 100.
Mary Caroline Pierce appelée plus simplement Mary Pierce, joueuse de tennis française, professionnelle de 1989 à 2006, née le 15 janvier 1975 à Montréal. Elle grandit au Canada puis aux États-Unis et possède la double nationalité franco-américaine, mais elle défend les couleurs françaises en compétition, notamment en Fed Cup. Au cours de sa carrière sportive, Mary Pierce a notamment gagné deux tournois du Grand Chelem en simple dames : l'Open d'Australie en 1995 et Roland-Garros en 2000. Elle a atteint la finale de quatre autres éditions du Grand Chelem : à l'Open d'Australie 1997, à Roland-Garros 1994 et 2005, et à l'US Open 2005. Elle possède aussi deux titres du Grand Chelem en double, à Roland-Garros en 2000 en double dames et à Wimbledon en 2005 en double mixte, et a également perdu une finale à l'Open d'Australie en 2000 en double dames. Elle a aussi atteint deux fois la finale du Masters en 1997 et 2005. Au total, elle a remporté 18 tournois en simple et 10 en double dames, et a été classée 3e mondiale dans les deux spécialités. Avec l'équipe de France, elle a gagné deux fois la Fed Cup en 1997 et 2003.
Mary Pierce fait partie du cercle fermé des joueuses comptabilisant plus de 500 victoires en carrière, ainsi que des joueuses ayant gagné au moins un tournoi sur toutes les surfaces. Par ailleurs, elle est l'une des trois seules Françaises avec Amélie Mauresmo et Marion Bartoli à avoir gagné au moins un titre du Grand Chelem dans l'ère Open, et à avoir atteint les quarts de finale en simple dans les quatre tournois du Grand Chelem. Parmi les joueurs français de l'ère Open, hommes et femmes confondus, elle détient les records de six finales et trente huitièmes de finale disputés en Grand Chelem. Après sa carrière sportive, elle a notamment été capitaine adjointe de l'équipe de France durant la saison 2017 de la Fed Cup. Elle fait son entrée le 20 juillet 2019 au International Tennis Hall of Fame.
Mary Caroline Pierce est la fille de Jim Pierce (1935-2017), de son vrai nom Bobby Glenn Pearce, un Américain engagé dans les commandos de marines à 18 ans et ancien repris de justice ayant séjourné pendant cinq années en prison pour divers larcins commis entre l'âge de 18 et 48 ans. Après un nouveau vol à Miami, il n'attend pas le jugement, s'enfuit à Montréal où il change son nom et rencontre sa femme, une étudiante parisienne, Yannick Adjadj, future masseuse professionnelle. Jim et Yannick lui donnent un frère cadet David né en 1976. Au début des années 1980, Jim Pierce négocie sa peine et peut ainsi revenir avec sa famille en Floride.
Mary Pierce découvre le tennis à l'âge de 10 ans en Floride, en accompagnant une copine à un entraînement. Rapidement passionnée, la jeune fille convainc son père, Jim, de l'inscrire à l'académie de Harry Hopman, où elle va se forger un style fondé sur la puissance et les qualités physiques. En 1987, elle remporte le Championnat des États-Unis des moins de douze ans ; son père abandonne alors son métier pour s'improviser entraîneur de tennis. Vivant son rêve de champion par procuration, il l'extirpe de l'école et inflige à sa fille, de 14 à 18 ans, huit heures d'entraînement quotidien et des claques au visage en cas de défaite ou de faible effort à l'entrainement. Malgré sa réussite sportive, qu'elle reconnaît devoir à son père qui a vendu sa boutique de bijouterie pour s'occuper de sa carrière, Mary avouera : « le tennis m’a volé une partie de mon enfance ».
Ne passant pas par le circuit junior, Mary commence sa carrière professionnelle en 1989 par le tournoi WTA Tiers II de Hilton Head. Elle devient alors la plus jeune joueuse à entrer sur le circuit (14 ans et 2 mois) jusqu'à ce que Jennifer Capriati ne lui prenne ce record l'année suivante.
1991-1992 voient Mary Pierce percer au plus haut niveau. Avec quatre succès dans des épreuves secondaires (Palerme en 1991 en simple comme en double, puis Cesena, Palerme et Porto Rico en 1992), elle gravit rapidement les échelons de la hiérarchie mondiale, passant du 236e rang en 1989, au 13e rang en 1992 à la WTA.
Après un longue carrière au plus haut niveau Marie Pierce quitte les cours de tennis, En 2012, même si sa retraite n'a jamais été officialisée, Mary Pierce s'occupe de l'entrainement d'une jeune Mauricienne, Emmanuelle de Beer. Elle a elle-même demandé la nationalité mauricienne, vivant sur cette île depuis 2008.
Elle devient en fin d'année 2015 consultante sur MCS Tennis puis en décembre 2015 membre du comité directeur de la Fédération internationale de tennis.
Le 21 décembre 2016, Yannick Noah nomme Mary Pierce capitaine adjointe de l'équipe de France pour la saison 2017 de la Fed Cup10.
Durant les Internationaux de France de tennis 2017, 2019 et 2020 elle est consultante sur France Télévisions et commente certains matchs.
Le 20 juillet 2019, Mary Pierce fait son entrée au International Tennis Hall of Fame.
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